C'est l'esprit plein d'entrain que je poste aujourd'hui : la vie si paisible pour certains n'est en réalité qu'une crise de nerfs permanente pour ma personne. Voyez vous, passer une matinée à entendre parler des reconfigurations territoriales du duché de bourgogne durant la guerre de Cent ans considérée dans son temps, fut l'une des distractions principales de ma journée, ça et les circulations économiques et professionnelles en Europe au XVIIIeme siècle. Le tout s'étant déroulé, évidemment sans café, petit dej ou autres divertissements du quotidien, que nenni. Ainsi, Noël je m'en contrecarre encore plus les tortelinis que d'habitude, surtout, surtout, surtout, au vu des teubés proches supplémentaires qui entoureront mon repas familial de la semaine de Noël (oui, dans mes contrées la souffrance se décline sur sept jours). Tout cela n'a, vous l'aurez compris, aucun rapport avec votre chocolat du jour, qui se compose d'un assortiment de pubs autour de Noël.
Les drôles de dames de Noël
L'instant poésie (oui, parfois on prononce autre chose que la sacro-sainte triptyque bites/chattes/couilles)
Y'a un hashtag walk of shame, OUAI
Bonus : la Royal Navy vous souhaite un joyeux noël version biatch allongée entre autre
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